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mardi, septembre 13, 2016

Un fondateur de LinkedIn offre 5 millions si Trump publie ses déclarations de revenus

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Publié le 12 septembre 2016 à 22h06 | Mis à jour le 12 septembre 2016 à 22h06
Reid Hoffman (à gauche) est le fondateur de LinkedIn.... (PHOTO AFP)
Reid Hoffman (à gauche) est le fondateur de LinkedIn.PHOTO AFP
Agence France-Presse
Washington
Un fondateur du réseau social professionnel LinkedIn, Reid Hoffman, a promis de verser jusqu'à 5 millions de dollars à des anciens combattants si le candidat républicain à la Maison-Blanche Donald Trump acceptait enfin de rendre publiques ses déclarations de revenus.
L'entrepreneur de la Silicon Valley a effectué cette annonce pour attirer l'attention sur cette association caritative, qui a lancé une campagne de financement participatif en faveur des vétérans.
Donald Trump avait effectué une promesse similaire en 2012, promettant 5 millions de dollars à une association caritative si le président Barack Obama, qui était alors en campagne pour sa réélection, rendait publiques ses notes d'université ou ses «demandes de passeports» notamment.
M. Trump était alors un de ceux qui doutaient ouvertement que M. Obama soit né sur le territoire américain. Si tel n'avait pas été le cas, il n'aurait pas pu devenir président.
Reid Hoffman a expliqué sur un blogue soutenir l'initiative d'un ancien Marine, Pete Kiernan, qui a lancé une campagne destinée à lever au moins 25 000 dollars pour une association d'aide aux anciens combattants.
M. Hoffman a indiqué qu'il aiderait Pete Kiernan si Donald Trump rendait publiques ses déclarations de revenus avant le 19 octobre.
«Étant donné que M. Trump dit soutenir les anciens combattants j'imagine qu'il verra tout le bien de l'initiative de M. Kiernan», a écrit Reid Hoffman sur Medium. «Mais compte tenu de l'offre de M. Trump en 2012 vis-à-vis du président Obama, je souhaiterais aider la campagne de M. Kiernan. S'il arrive à récolter ou à dépasser son objectif j'y contribuerai en versant cinq fois le montant récolté, jusqu'à une limite de 5 millions de dollars».
Comme les décisions d'un Donald Trump président auront de nombreuses conséquences sur ses intérêts économiques, «il n'a jamais été aussi nécessaire qu'un candidat publie ses déclarations de revenus», a fait valoir M. Hoffman.
La tradition veut depuis des décennies aux États-Unis que les candidats à la présidentielle publient leurs déclarations de revenus.
La candidate démocrate Hillary Clinton et son colistier Tim Kaine l'ont déjà fait. Le colistier de M. Trump, Mike Pence, s'en est aussi acquitté vendredi.
Mais le candidat républicain met lui en avant le contrôle fiscal dont il est la cible depuis 15 ans pour retarder la publication de ses propres documents. Il affirme que le dépôt obligatoire d'un document de transparence financière auprès de la commission électorale FEC, en mai dernier, est suffisant. Ce document donne seulement une estimation de ses actifs, dettes et revenus.

À DÉCOUVRIR SUR LAPRESSE.CA

Clinton et Trump promettent d'en dire plus sur leur santé

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Publié le 13 septembre 2016 à 06h50 | Mis à jour à 06h50
Après son malaise, la démocrate, qui aura 69... (AFP)
AFP
Après son malaise, la démocrate, qui aura 69 ans le 26 octobre, a ignoré les questions, se contentant de dire à la presse qu'elle allait bien et que la journée à New York était «merveilleuse». Quelques jours plus tôt à Cleveland, prise d'une violente quinte de toux, elle avait plaisanté en disant qu'elle était allergique à Donald Trump

BRIGITTE DUSSEAU
Agence France-Presse
WASHINGTON
Après son malaise, Hillary Clinton a promis de nouvelles informations sur sa santé et Donald Trump lui a emboîté le pas, une annonce bienvenue pour des candidats à la présidentielle américaine jusque là très discrets sur le sujet.
Le malaise d'Hillary Clinton dimanche lors de la commémoration du 11-Septembre à New York, et la révélation de son médecin qu'elle souffrait depuis plusieurs jours d'une pneumonie, ont rappelé aux Américains qu'ils savaient peu de choses sur la santé de leurs candidats, engagés dans une campagne effrénée depuis plus d'un an, et parmi les plus âgés à briguer le poste le plus important du monde.
Après son malaise, la démocrate, qui aura 69 ans le 26 octobre, a ignoré les questions, se contentant de dire à la presse qu'elle allait bien et que la journée à New York était «merveilleuse». Quelques jours plus tôt à Cleveland, prise d'une violente quinte de toux, elle avait plaisanté en disant qu'elle était allergique à Donald Trump.
Sa campagne a affirmé que les nouveaux détails montreraient qu'elle n'a pas d'autre problème que sa pneumonie.
Lundi, Mme Clinton a déclaré par téléphone à CNN qu'elle avait été prise d'un «vertige» et avait «perdu l'équilibre pendant une minute», mais qu'ensuite elle avait tout de suite commencé à se sentir mieux.
La candidate démocrate a minimisé l'importance de son malaise et a estimé qu'elle était beaucoup plus transparente que son adversaire républicain Donald Trump.
Le seul document officiel un peu précis sur sa santé, une lettre de huit paragraphes de son médecin personnel Lisa Bardack, date de juillet 2015. Elle y était décrite en «excellente condition physique».
Le médecin y rappelait que fin 2012, Mme Clinton, alors secrétaire d'État, avait souffert d'un virus gastrique, de déshydratation, puis d'une commotion cérébrale après s'être évanouie. Un caillot de sang avait ensuite été découvert entre le cerveau et le crâne, et elle avait vu double pendant quelques semaines.
Elle précisait aussi que Mme Clinton souffrait d'allergies saisonnières, d'hypothyroïdie, avait déjà souffert de thrombose veineuse en 1998 et 2009 et prenait des médicaments contre l'hypothyroïdie et un anticoagulant.
Une visite de contrôle en 2013 a «montré une résolution complète de tous les effets de la commotion, et une dissolution complète de la thrombose», ajoutait le médecin.
À 70 ans, le républicain Donald Trump, qui serait le plus vieux président jamais élu, n'a à ce jour publié que quatre paragraphes hagiographiques, rédigés à la hâte par son médecin Harold Bornstein en décembre 2015.
Où mettre la limite ?
«Sa tension artérielle et les résultats des tests en laboratoire sont incroyablement excellents. S'il est élu, je peux affirmer sans équivoque que M. Trump sera l'individu en meilleure santé jamais élu à la présidence», y affirmait le médecin, qui a récemment confié qu'il avait écrit ses «quatre ou cinq paragraphes le plus vite possible pour qu'ils soient contents».
D'où l'insistance de certains pour que les deux candidats soient plus précis sur leur santé: en s'inspirant par exemple de John McCain qui, candidat républicain à la présidence en 2008 et souffrant d'un cancer de la peau, avait, à 71 ans, invité 20 journalistes à consulter 1173 pages de son bilan médical.
À un peu plus de 50 jours de l'élection présidentielle, «plus ils sont transparents sur leur santé, mieux c'est», estime Robert Shapiro, expert politique de l'université Columbia à New York, selon lequel cela peut être fait sans «tout rendre public».
Il évoque «un groupe de médecins» qui pourraient, ensemble, consulter le dossier médical du candidat et témoigneraient qu'il est capable de diriger le pays. Ou des documents soumis à certains élus du Congrès qui filtreraient l'information.
Mais où mettre la limite, «que devons-nous savoir ?», s'interroge David Lublin, professeur de sciences politiques à l'American University de Washington. «Même aux États-Unis où nous pensons que nous avons le droit de tout savoir de la vie personnelle de nos candidats, la santé est en quelque sorte une limite», dit-il à l'AFP.
Faut-il évoquer une maladie sexuellement transmissible? La tension artérielle? Selon lui, les problèmes sans gravité ne méritent pas d'être rendus publics, et il faut simplement faire état des problèmes importants tels que le cancer, une maladie grave, ou une tumeur au cerveau.
Mais il reconnaît aussi que la question est importante.
«Nous avons eu un candidat, Paul Tsongas, qui répétait qu'il était en bonne santé, mais il a eu un cancer, n'en a parlé à personne. S'il avait été élu, il serait mort durant son premier mandat», rappelle-t-il.

Laurentides: femme battue, 3 hommes arrêtés

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Publié le 13 septembre 2016 à 06h33 | Mis à jour à 06h33
Trois hommes ont été arrêtés au cours des dernières heures dans les Laurentides... (PHOTO ARCHIVES LA PRESSE)
PHOTO ARCHIVES LA PRESSE
La Presse Canadienne
Trois hommes ont été arrêtés au cours des dernières heures dans les Laurentides après qu'une femme ait été présumément enlevée et séquestrée avec son bébé âgé de trois mois avant d'être battue.
Il semble que la dame de 22 ans se soit réfugiée lundi après-midi chez un voisin de la maison où elle avait été emmenée, à Sainte-Adèle, profitant de l'inattention d'un des trois suspects, qui serait son mari.
L'homme également âgé de 22 ans était recherché depuis quelque temps par la police pour une affaire de proxénétisme. Les deux autres hommes arrêtés seraient des complices, mais leur rôle dans cette affaire n'a pas encore été éclairci.
D'ailleurs, les trois hommes ont été interrogés pendant plusieurs heures et mardi matin, on ignore toujours la nature exacte des accusations qui devraient être portées contre eux.
Quant au petit enfant, il ne semble pas avoir été blessé. (Collaboration Cogeco Nouvelles)

Une circonscription Maurice-Richard ?

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Publié par La Presse Canadienne le mardi 13 septembre 2016 à 07h31. Modifié par Charles Payette à 08h09.
Une circonscription Maurice-Richard ?

MONTRÉAL - La députée montréalaise Marie Montpetit déposera jeudi à la Commission de l'Assemblée nationale une proposition de renommer l'actuelle circonscription de Crémazie qu'elle représente en l'honneur de Maurice Richard.
Cette proposition sera émise dans le cadre de l'étude du rapport préliminaire de la Commission de la représentation électorale.

La députée libérale affirme que l'initiative s'appuie sur les démarches de l'Association de hockey mineur des Braves d'Ahuntsic, en coopération avec la famille Richard. La figure emblématique que fut Maurice Richard a également été membre fondateur et bénévole émérite de cette organisation de hockey mineur.

La députée de Crémazie soutient que le grand joueur de hockey qu'a été Maurice Richard a insufflé un sentiment de fierté à l'ensemble de la nation québécoise à un moment critique de son histoire, ce qui fait de lui l'un des grands bâtisseurs du Québec moderne et une inspiration pour plusieurs générations.

Elle rappelle aussi que M.Richard a passé plus de 50 ans dans le quartier Ahuntsic.

Le nom actuel de la circonscription a été choisi en l'honneur du poète et libraire Octave Crémazie, né à Québec en 1827 et mort en France en 1879. Un boulevard et une station du métro de Montréal portent son nom, en plus d'une salle du Grand Théâtre de Québec.

Conformément aux dispositions de la Loi électorale, la délimitation des circonscriptions électorales doit être revue toutes les deux élections générales.