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dimanche, avril 12, 2015

Salle comble pour les candidats à la chefferie du Parti québécois

http://www.journaldemontreal.com/

au Cégep de Jonquière
Marc-André Gagnon
Le développement régional se retrouve au cœur d’un débat auquel participent les candidats à la chefferie du Parti québécois, cet après-midi, au Cégep de Jonquière.
Il s’agit du seul et unique débat régional – en circuit non officiel – qui aura lieu au Saguenay–Lac-Saint-Jean.brbrReplacementbrbr Plus de 900 militants péquistes sont réunis pour l’occasion à l’auditorium du Cégep de Jonquière, qui fait salle comble.brbrReplacementbrbr brbrReplacementbrbr
Cloutier gonflé à bloc
brbrReplacementbrbr brbrReplacementbrbr « Quand je vois votre enthousiasme dans la salle, je me dis vraiment que tout est possible. [...] Il est en train de se passer quelque chose, jour après jour, je reçois des appuis », s’est réjouit le plus jeune des candidats, Alexandre Cloutier, qui s’est mérité le plus d’applaudissements de la part des militants, dans les premières minutes du débat.brbrReplacementbrbr Le député de Lac-Saint-Jean a fait valoir sa proposition visant à faire en sorte que les frais de scolarité des jeunes qui viennent s’établir en régions soient remboursés par l’État québécois.brbrReplacementbrbr Bernard Drainville a insisté sur l’importance de doter chaque région d’un fonds de développement.brbrReplacementbrbr brbrReplacementbrbr
Les régions « abandonnées »
brbrReplacementbrbr brbrReplacementbrbr « Les régions sont en maudit actuellement, parce que les libéraux sont en train de déposséder nos régions. Ils sont en train de démolir les outils de concertation régionale », a lancé le député de Marie-Victorin, qui s’engage à se battre contre la centralisation.brbrReplacementbrbr « J’ai passé ma vie à défendre les droits des travailleurs », a déclaré à son tour Pierre Ceré, qui s’est présenté comme le candidat qui « dérange ». « Je provoque les débats », a dit M. Ceré, avant de livrer un plaidoyer en faveur de l’indépendance.brbrReplacementbrbr Martine Ouellet a mis de l’avant son bilan régional à titre de ministre des Ressources naturelles, sous Pauline Marois.brbrReplacementbrbr « Je propose de mettre en place des bureaux régionaux d’information, avec Télé-Québec, un réseau pan québécois d’information en continue », a dit la députée de Vachon.brbrReplacementbrbr Pierre Karl Péladeau a débuté en réitérant son souhait de « faire du Québec, un pays ».brbrReplacementbrbr « Les libéraux ont abandonné les régions du Québec, a lui aussi dénoncé le député de Saint-Jérôme. Ils ont abandonné le Saguenay-Lac-Saint-Jean. »brbrReplacementbrbr En plus du développement régional, trois autres thèmes sont au programme, soit l’économie, l’environnement et l’indépendance.brbrReplacementbrbr Le troisième débat officiel des prétendants à la chefferie du Parti québécois aura lieu jeudi soir, à l’Impérial de Québec.brbrReplacementbrbr brbrReplacementbrbr

La FIQ prédit un départ massif des infirmières

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Publication:  |  Par Radio-Canada.ca

Le syndicat qui représente les infirmières au Québec prédit une « catastrophe » pour le réseau de la santé si le gouvernement libéral persiste avec son intention de modifier le régime de retraite des employés de l'État.
FIQSelon un sondage réalisé pour le compte de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), près de la moitié de ses membres de plus de 50 ans ont l'intention de prendre leur retraite d'ici trois ans.
« Ça représenterait des départs massifs de 7500 infirmières en pleine période de pénurie d'infirmières auxiliaires, d'inhalothérapeutes et de perfusionnistes », déplore la présidente de la FIQ, Régine Laurent.
C'est davantage qu'en 1997, alors que 6000 infirmières avaient pris leur retraite à la suite des réformes du gouvernement péquiste de Lucien Bouchard, prévient Mme Laurent. Selon elle, ces départs avaient créé des « torts au réseau de la santé dont on subit encore les effets ».
La majorité des professionnelles en soins interrogées ont indiqué que leur intention de partir était motivée par les récentes mesures proposées par le gouvernement.
  • 61 % se sont dites influencées par la mesure faisant passer l'âge de la retraite de 60 à 62 ans à compter de 2017;
  • 71 % motivent leur décision par la volonté de Québec d'augmenter la pénalité pour une retraite anticipée de 4 à 7,2 % par année;
  • 64 % expliquent être influencés par le changement dans la façon dont la rente est calculée, en tenant compte du salaire moyen des huit dernières années plutôt que des cinq, comme c'est le cas présentement.
« Martin Coiteux va rendre le réseau de la santé encore plus malade et mettre en péril la qualité et la sécurité des soins aux patients s'il persiste. »
— Régine Laurent, présidente de la FIQ
Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, ne commentera par l'enquête de la FIQ pour le moment.
Méthodologie
Le sondage téléphonique a été réalisé auprès de 602 membres de la FIQ de 50 et 64 ans, du 27 au 30 mars 2015, par la firme Repères. Les données ont été pondérées selon le titre d'emploi, l'âge, le statut et les régions. La marge d'erreur est de plus ou moins 4 %.

Les relations internationales du Québec : être aux bons endroits, aux bons moments

http://quebec.huffingtonpost.ca/christine-st-pierre/

Publication: 
Enfant, Paul Gérin-Lajoie faisait déjà partie de ma vie et de celle de milliers de jeunes Québécois et Québécoises. Il nous a transmis le désir d'apprendre, tout comme celui de découvrir le monde. Dans un discours dont nous célébrons ces jours-ci le 50e anniversaire, il a énoncé ce qui constitue aujourd'hui le socle juridique et politique des relations internationales du Québec.
Cette doctrine, présentée pour la première fois le 12 avril 1965, stipule que le Québec a non seulement le droit, mais également le devoir d'exercer ses compétences chez lui comme sur la scène internationale. Elle trace la ligne à suivre pour le Québec, par l'extension externe de nos compétences internes.
Cinquante ans plus tard, la vision exprimée par M. Gérin-Lajoie aura véritablement inscrit le Québec dans l'espace international. Le Québec est de plus en plus visible et a su approfondir cette dimension. C'est cette vision qui, aujourd'hui, inspire mon travail de ministre des Relations internationales et de la Francophonie.
Il y a un an, le premier ministre, Philippe Couillard, m'a confié la mission de mettre cet héritage au service du développement du Québec. Notre gouvernement sait que nos grands défis économiques s'ancrent plus que jamais dans un environnement mondial hautement compétitif. Nos grands projets de développement, qu'il s'agisse du Plan Nord ou de la Stratégie maritime, ne sauraient être menés à bien sans de substantiels partenariats étrangers. En tant qu'État fédéré, le Québec contribue de façon importante à l'effort collectif de lutte aux changements climatiques et de gestion durable des ressources et de l'environnement.
Les États qui réussissent le pari de la prospérité savent être aux bons endroits, aux bons moments. C'est ce qu'illustre notre décision récente d'ouvrir des représentations à Dakar ainsi que dans la province chinoise du Shandong, et d'accroître notre capacité d'action économique aux États-Unis, à Houston et San Mateo. On n'insistera jamais assez sur le caractère stratégique de nos représentations à l'étranger, qui accompagnent tous les ans quelque 4 000 exportateurs, universitaires et artistes.
L'an dernier, nous avons été partenaires de près de 300 projets de coopération et de 100 projets de solidarité internationale. Les retombées de tels investissements profitent à l'ensemble de la société québécoise. Cette place que les Québécois occupent désormais sur la scène internationale, par le truchement du ministère des Relations internationales et de la Francophonie, a de quoi rendre fier M. Gérin-Lajoie.
Les principes qu'il a énoncés il y a cinquante ans sont à la base de l'engagement remarquable des femmes et des hommes du ministère des Relations internationales et de la Francophonie, qui poursuivent le développement de réseaux d'influence, la conclusion d'ententes, le rayonnement du Québec et le soutien à l'étranger aux éléments les plus dynamiques de notre nation.
Autant ces principes ont permis à l'État québécois de mener une diplomatie fructueuse, de l'adapter aux contraintes du moment et aux configurations changeantes de l'environnement international, autant ils guideront notre action des prochaines années au service du développement économique, scientifique, social et culturel du Québec.
La doctrine Gérin-Lajoie, en somme, demeure aussi pertinente et actuelle qu'elle l'était il y a 50 ans.
C'est forts de cette assise que nous intensifions nos collaborations avec les acteurs, traditionnels et nouveaux, des relations internationales, y compris les entreprises, villes, universités et créateurs, et ce, sur toutes les places, y compris numériques, où le commandent les intérêts du Québec.
Encore aujourd'hui, et après 50 ans d'actions d'envergure internationale, M. Paul Gérin-Lajoie nous rappelait dernièrement que : « Pour prospérer et se développer dans un monde compétitif et globalisé, le Québec se doit, plus que jamais, de tisser des relations avec le reste de la planète, dans tous les domaines d'activités ».
Puisse cette doctrine inspirer nos actions et ceux qui nous succèderont dans la représentation du Québec dans le monde.

Un homme arrêté pour avoir menacé de faire exploser le Parlement à Ottawa



http://quebec.huffingtonpost.ca/

Publication:     |  Par La Presse Canadienne
OTTAWALa police de Chatham-Kent affirme avoir arrêté un homme soupçonné d'avoir menacé de faire exploser les édifices du Parlement à Ottawa.
Les autorités locales ont été contactées vendredi par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) concernant une menace présumée proférée par un homme de cette municipalité du sud-ouest de l'Ontario.
Selon la GRC, celui-ci aurait téléphoné à la Bibliothèque du Parlement en disant vouloir faire exploser les édifices du Parlement dans le cadre d'une «révolution» contre la colline parlementaire.
La police déclare que l'arrestation du suspect de 49 ans s'est déroulée sans incident vendredi après-midi.
L'homme est actuellement en détention. Il est accusé d'incitation à craindre des activités terroristes et d'avoir proféré des menaces.
L'enquête se poursuit.

Un pilote d’avion remet à sa place une femme effronté lors d’un vol vers Montréal.

HUMOUR

Lors d’un vol pour Montréal,
Quelques minutes après le décollage, une blonde assise dans la classe économique se lève et se dirige vers la première classe et y prend place.
L’agent de bord la voit faire et décide de lui demander de voir son billet.
Alors il explique à la blonde qu’elle a payé pour une place en classe économique et qu’elle ne peut s’asseoir en première classe, qu’elle doit donc retourner en classe économique.
La blonde lui répond :
 » Je suis blonde, je suis belle, je vais à Montréal et je reste assise ici !  »
L’agent de bord va dans la cabine de pilotage et explique au pilote et au co-pilote qu’il y a une blonde assise dans la première classe qui a payé pour la classe économique et qui refuse de retourner dans la classe économique
Le co-pilote va voir la blonde et tente de lui expliquer que puisqu’elle a payé uniquement pour un billet en classe économique elle doit retourner en classe économique
La blonde lui répond :
 » Je suis blonde, je suis belle, je vais à Montréal et je reste assise ici !  »
Le co-pilote dit au pilote qu’ils doivent contacter la police pour arrêter la blonde lors de l’atterrissage car elle refuse de retourner en classe économique.
Le pilote demande au co-pilote :  » Vous avez bien dit qu’elle est blonde ? Je vais régler le problème, car je suis marié à une blonde, je parle le langage des blondes.  »
Le pilote se rend auprès de la blonde et lui parle à l’oreille.
La blonde lui dit :
« Oh je suis désolée ! » et elle se lève et retourne à son siège en classe économique.
L’agent de bord et le co-pilote sont étonnés et demandent au pilote qu’est-ce qu’il lui a dit pour qu’elle accepte de retourner en classe économique sans faire de chichi.
 » Je lui ai dit :  »
« La première classe ne va pas à Montréal. »